Caprice des Dieux fait un nouveau caprice à la télé et sur Facebook

A l’occasion du lancement de son spot publicitaire prévu le 27 mai prochain, Caprice des Dieux affine sa stratégie de love branding sur les réseaux sociaux. Une expérience qui permet à la marque fromagère de décliner le message de la parade amoureuse sur Facebook et de renouer avec une cible plus jeune.

Pour ce nouvel opus de la saga Caprice des Dieux, la marque fromagère a mis les petits plats dans les grands. C’est auprès de l’agence Publicis -Marcel que le groupe Bongrain a trouvé les ingrédients pour nourrir une cible féminine adepte de l’hédonisme et en quête de moments d’abandon. En reprenant la même recette qui a construit son succès – deux personnages emblématiques incarnés ici par les acteurs Marina et Guillaume, l’exclusion des indésirables et la réconciliation – la marque exploite à nouveau le potentiel du storytelling. « On se fait un petit caprice fait partie des fondamentaux de la marque, explique Ivan de Villers, directeur marketing et export de Bongrain Gérard. Dans toutes les sagas, la femme a toujours été celle qui mène le bal, qui invite l’homme au plaisir sans culpabilité». Le film sera diffusé sur toutes les chaines dès le 27 mai en France puis en Belgique, au Canada, en Suisse et en Italie.

Caprice des Dieux veut consolider le message sur le digital

Pour accompagner le lancement du spot, Caprice des Dieux a également investi le canal digital. A l’instar du groupe Bel qui a starifié La Vache qui Rit, le label fromager a donné vie aux anges présents sur son packaging. «Anje et Ange incarnent bien sûr la femme et l’homme, et chacun possède une page Facebook. Ils interagissent avec les fans et ajoutent de la proximité et de la complicité». Résultats, le taux d’engagement a quadruplé en 6 mois et la communauté devrait franchir le cap des 400 000 fans d’ici la fin de l’année. Cette stratégie social media devrait se poursuivre jusqu’en 2014 mais cette fois-ci avec le soutien d’ambassadeurs pour faire vivre l’esprit «caprice» au-delà de la Toile. «Nous réfléchissons également à une présence sur Pinterest bien que notre cible soit majoritairement présente sur Facebook», ajoute Simon Cachera, community manager au sein de l’agence Marvel. Un autre axe qui devrait dynamiser la stratégie de brand content de la marque et lui permettre de prendre de l’envergure grâce aux autres media. D’ailleurs en dernier volet digital : un film interactif entièrement personnalisé a été réalisé grâce aux données personnelles collectées sur le profil telles que le prénom, la date de naissance ou signe zodiacal, l’adresse mail opt-in, et des photos. Caprice des Dieux a ainsi mis en scène un tête à tête amoureux entre un sauveteur et sa consommatrice.

« Le digital représente entre 12 et 15% du budget media, explique Julien Nugues, chef de groupe au sein du groupe Bongrain. En renfort, nous avons mis en place du display classique, des partenariats avec TF1, My TF1.fr. Après la Saint Valentin, d’autres temps forts nous attendent comme la Fête des Mères et la rentrée ».  Caprice des Dieux est l’un des acteurs sur son secteur qui investit le plus dans la communication. Il représente le premier chiffres d’affaires du rayon fromage/mètre linéaire et enregistre un taux de pénétration d’environ 30 %.